2 mars 2008
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10:43
Si l'expression interrogative "Qu'est-ce qu'on va faire de toi?..."très largement médiatisée par notre animateur national est ,contrairement à ce que l'on est susceptible de penser, porteuse d'espoir,il semblerait qu'il n'en soit pas forcément de meme pour cet autre questionnement "Qu'est-ce que tu aurais pu faire d'autre?..."
En effet,si la première peut se ressentir comme une question posée à une jeune personne ouverte sur l'avenir,la seconde(notons au passage, ici,l'emploi du futur antérieur...) tendrait plutot à revetir un caractère de constat effectué sur une personne qui n'aurait eu que bien peu d'aptitudes!...A moins qu'elle ne puisse également s'adresser,oh,miracle!..., à telle autre ayant déja rempli de multiples fonctions!...
Dans un premier temps,pour faire vite,notre propos consiste à attirer l'attention sur l'importance,sur la raisonnance que peuvent prendre les mots,les phrases,la tonnalité engendrée par la ponctuation!...Pour exemple,cette maxime de Tolstoi:"Le bonheur ne consiste pas à vouloir faire ce que tu veux,mais en voulant toujours ce que tu fais!...Et le verbe "pouvoir" dans tout cela?...
Ne vaudrait-il pas mieux penser comme Sénèque que "Tout ce qui est vraiment grand,se développe lentement,inconsciemment."?Ou comme Jean Rostand,qu'"Il reste dans la nature assez d'inconnu pour qu'on n'ait jamais le droit de traiter quelqu'un d'imbécile"?
Quoi qu'il en soit,si une de ces interrogations est posée négativement à "un homme d'esprit",ce dernier "fait toujours quelque profit du mal que l'on dit de lui !...(A.Tournier)surtout si comme M.Herbert il pense qu'"il n'est jamais trop tard pour façonner son destin!..."
De toute manière,dans la vie,il faut toujours faire sien ce proverbe qui nous vient de la Mongolie et qui suggère de n'employer envers autrui que des mots bienveillants car,dit-il,"un mot bienveillant donne de la chaleur pour trois hivers;un mot méchant blesse comme six mois de gel!..."
En conclusion, pour ce qui est de notre propos,on ne peut vraiment que très vivement souhaiter et proclamer:
"Vive le réchauffement climatique dans le vocabulaire!..."
En effet,si la première peut se ressentir comme une question posée à une jeune personne ouverte sur l'avenir,la seconde(notons au passage, ici,l'emploi du futur antérieur...) tendrait plutot à revetir un caractère de constat effectué sur une personne qui n'aurait eu que bien peu d'aptitudes!...A moins qu'elle ne puisse également s'adresser,oh,miracle!..., à telle autre ayant déja rempli de multiples fonctions!...
Dans un premier temps,pour faire vite,notre propos consiste à attirer l'attention sur l'importance,sur la raisonnance que peuvent prendre les mots,les phrases,la tonnalité engendrée par la ponctuation!...Pour exemple,cette maxime de Tolstoi:"Le bonheur ne consiste pas à vouloir faire ce que tu veux,mais en voulant toujours ce que tu fais!...Et le verbe "pouvoir" dans tout cela?...
Ne vaudrait-il pas mieux penser comme Sénèque que "Tout ce qui est vraiment grand,se développe lentement,inconsciemment."?Ou comme Jean Rostand,qu'"Il reste dans la nature assez d'inconnu pour qu'on n'ait jamais le droit de traiter quelqu'un d'imbécile"?
Quoi qu'il en soit,si une de ces interrogations est posée négativement à "un homme d'esprit",ce dernier "fait toujours quelque profit du mal que l'on dit de lui !...(A.Tournier)surtout si comme M.Herbert il pense qu'"il n'est jamais trop tard pour façonner son destin!..."
De toute manière,dans la vie,il faut toujours faire sien ce proverbe qui nous vient de la Mongolie et qui suggère de n'employer envers autrui que des mots bienveillants car,dit-il,"un mot bienveillant donne de la chaleur pour trois hivers;un mot méchant blesse comme six mois de gel!..."
En conclusion, pour ce qui est de notre propos,on ne peut vraiment que très vivement souhaiter et proclamer:
"Vive le réchauffement climatique dans le vocabulaire!..."
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